Banni de Jecontacte.com – Essayez cette nouvelle app pour trouver rapidement des plans cul

 

C’est arrivé à beaucoup d’hommes, et de femmes : se faire bannir de Jecontacte.com.

Ce site a l’air intéressant car ce sont des gens qui veulent faire des rencontres dans la région. On essaie, et on se rend vite compte que les plan culs sont impossibles sur ce site. Ils suppriment votre profil et bannissent des hommes et des femmes.

Mais heureusement pour les hommes et les femmes bannis, une nouvelle app permet à toutes les personnes, motivées pour des plans cul, de se retrouver dans leur région. C’est Plansexe.com

Pourquoi peut-on être banni de Jecontacte.com ?

La première raison est qu’ils interdisent certains mots. On ne peut pas dire qu’on cherche un plan cul, les femmes ne peuvent pas écrire qu’elles aiment sucer, alors c’est compliqué pour discuter. Si vous utilisez deux ou trois mots interdits, vous êtes banni.

Franchement, comment rencontrer des femmes chaudes alors ? Des sites comme Plansexe.com sont là pour ça. Des hommes et des femmes qui peuvent échanger librement et se donner rendez-vous dans leur région pour des soirées chaudes.

Après avoir été banni de Jecontacte.com, j’ai décidé de chercher où se trouvaient les femmes chaudes en ligne. Et une chose est sûre, elles n’ont pas froid aux yeux. Elles s’inscrivent sur des sites explicites comme Plansexe.com. Je me décide à m’y inscrire aussi.

C’est une nouvelle app qui permet de tchatter avec des femmes selon les critères de physique (mince, gros seins, etc.) et de région. Il faut toujours tester la nouveauté, c’est là qu’on peut trouver l’aventure, et vous ne serez pas déçu avec Plansexe.com.

A la différence de Jecontacte.com, vous pouvez parler comme vous voulez, et souvent, ce sont les femmes qui viennent vous parler. Elles sont là, et se sont inscrites, pour du sexe. Elles veulent des hommes dans leur région pour coucher avec elles.

Sur d’autres sites elles seraient difficiles à trouver, on perdrait du temps, ou on se ferait bannir. Mais sur Plansexe.com, tous les inscrits sont là pour des plan culs, donc c’est plus simple et plus rapide.

Sur Jecontacte.com il y a beaucoup plus d’hommes que de femmes. Les femmes sont trop sollicitées et il devient difficile pour vous de vous démarquer face à cette concurrence.

Cette nouvelle app de rencontre qui change tout !

Sur Plansexe.com, les hommes sont uniquement acceptés selon un algorithme qui calcule le nombre de femmes par rapport aux hommes. Cela permet d’avoir plus d’égalité et donc moins de vils coquins et plus de chances de pouvoir discuter avec des femmes.

Si vous êtes déjà allé sur le site de petites annonces Jecontacte.com, vous avez sûrement remarqué que les femmes célibataires ne sont pas vraiment jolies. Désolé, mais c’est la vérité.

La plupart de femmes inscrites sur le site de rencontre gratuit Jecontacte.com sont vieilles et franchement pas sexy. Si vous êtes honnêtes et parlez directement de plan d’un soir, elles vont sûrement vous signaler et votre profil va être banni. Elles veulent principalement des rencontres sérieuses et des belles histoires.

Allez faire un tour sur Plansexe.com. C’est un des meilleurs sites de rencontre coquines, et vous verrez la différence de qualité. Les filles qui y sont inscrites sont nettement plus belles, et en plus elles sont là uniquement pour des relations sexuelles.

Elles ont en moyenne 25 ans. Franchement, c’est clairement le type de filles que cherchent les honnêtes hommes comme nous.

Vous pourrez engager la conversation en parlant directement de sexe. Ici il n’y a pas de prise de tête. Les filles seront même heureuses de pouvoir dialoguer de leur sujet favori ; avoir un rendez-vous chaud avec un homme près de chez elles.

En résumé, si vous voulez rencontrer des célibataires classiques restez sur Jecontacte.com. Mais vous perdrez votre temps car aucune des femmes présentes n’est capable de friponneries.

Inscrivez-vous sur Plansexe.com car c’est là que les vraies femmes chaudes de votre région passent leur temps afin …

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Service Militaire au 2e Groupe de Chasseurs Contingent 88-12

Service Militaire au 2e Groupe de Chasseurs

Contingent 88-12

Le Camp de Munsingen

L’entrée du camp.

Les AMX-10P du 2e GC sont encore sur les wagons du train qui les a transporté de la gare de Neustadt an der Weinstrasse jusqu’à la gare militaire de Munsingen.

L’allée menant du “parc à chars” vers la zone vie du camp vue en octobre 1989.

Vue de l’allée principale du camp en février 1989. L’armée française a quitté Munsingen en 1992 et la Bundeswehr (armée de terre allemande) a effectué les derniers tirs le 9 décembre 2004, avant de fermer le camp douze mois plus tard

L’une des barraques du camp, vue lors d’une journée ensoleillée, occupée par la 3e Compagnie du 2e GC.

La barraque de la 3e Compagnie (on devine son panneau jaune) après une chute de neige nocturne.…

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Fort Casey ( Washington State )

Fort Casey was one of the several coast artillery posts established during the late 1890s for the defense of Puget Sound. Together with the heavy batteries of Fort Worden and Fort Flagler, its guns guarded the entrance of Admiralty Inlet, the key point in the fortification system designed to prevent hostile fleet from reaching such prime targets as the Bremerton Navy Yard and the cities of Seattle, Tacoma, Olympia and Everett.

A small detail of troops arrived on the reservation shortly after the completion of the gun emplacements. The first garrison numbered thirty men under the command of Lieutenant A.D. Putnam. Fort Casey was officially activated about 1900 and although its guns were never fired in anger, it remained an integral part of US defense.

In common with other coast defense posts in the West, Fort Casey was the scene of increased military activity during Worl War I. After 1921, the Army entered one of its periods of austerity and Fort Casey was placed upon what amounted to caretaker status. Only a small force was kept at the post to guard and maintain the property. Military activity during World War II consisted largely of training an routine garrison duty. Many of the remaining outmoded coast defense guns were salvaged for scrap purposes in 1942 and 1943.

Fort Casey was closed in 1953 and is part of the Ebey’s Landing National Historic Reserve since 1980.

Fort Casey faisait partie des postes d’artillerie établis à la fin des années 1890 pour la défense du Puget Sound. En coordination avec les batteries d’artillerie lourde de Fort Worden et Fort Flagler, les canons de For Casey protégeaient l’entrée de l’Admiralty Inlet, le point clé du système de fortification prévu pour prévenir toute attaque d’une flotte ennemie contre les cibles stratégiques qu’étaient les chantiers navals de Bremerton et les villes de Seattle, Tacoma, Olypia et Everett.

Les premières troupes arrivèrent peu après la fin des travaux de construction des batteries. La garnison initiale ne comptait qu’une trentaine d’hommes sous le commandement du Lieutenant A.D. Putnam. Fort Casey a été officiellement activé vers 1900. Il n’eut jamais à subir le baptême du feu mais demeura une part intégrante du système de défense des USA.

L’activité augmenta sensiblement à Fort Casey pendant la Première Guerre Mondiale, mais retomba vite dans une période de calme après 1921, alors que l’US Army entrait dans une période d’austérité. Une garnison réduite fut maintenue pour assurer la maintenance et le gardiennage des installations.

Même la Deuxième Guerre Mondiale ne fit sortir le Fort de sa léthargie, l’activité étant réduite à des exercices de routine. La plupart des pièces d’artillerie complètement démodée furent ferraillées au cours des années 1942 et 1943.

Fort Casey a été fermé par l’US Army en 1953 et fait partie de l’Ebey’s Landing National Historic Reserve depuis 1980.

Armament
Armement
Batterie Turman
Two 5-inch rifles
Deux canons de 127 mm
Batterie Worth
Two 10-inch rifles on disappearing carriages
Deux canons de 252 mm sur affut escamotables
Batterie Moore
Three 10-inch rifles on disappearing carriages
Trois canons de 252 mm sur affut escamotables
Batterie Kingsbury
Two 10-inch rifles on disappearing carriages
Deux canons de 252 mm sur affut escamotables
Batterie Valleau
Four 6-inch rifles on disappearing carriages
Quatre canons de 152 mm sur affut escamotables
Batterie Trevor
Two 3-inch, rapid-fire rifles
Deux canons à tir rapide de 76 mm
Batterie Schenck
Eight 12-inch mortars
Huit mortiers de 304 mm
Batterie Seymour
Eight 12-inch mortars
Huit mortiers de 304 mm
Batterie Parker
Two 6-inch rifles on disappearing carriages
Deux canons de 152 mm sur affut escamotables
Batterie Van Horne
Two 3-inch, rapid-fire rifles
Deux canons à tir rapide de 76 mm
Fire Control Station

Fort Casey vu depuis le ferry vers Port Townsend. Le Centre de Controle de Tir et ses 4 batiments verts est bien visible ainsi que deux emplacements bétonnés de phares de recherche.

Fort Casey seen from

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Vietnam Air Force Museum in Hanoi

Vietnam Air Force Museum in Hanoi

Cessna A-37A “0475” (cn 40047) probably built as T-37A 56-3475 and rebuilt as T-37A 67-14529. This particular aircraft was captured by North Vietnamese forces in 1975 and was used afterwards to bom Tan Son Nhut Air Base (Saigon’s main airport).

This Northrop F-5A “7579” flew with the South Vietnamese Air Force before being reused by the North.

Former Cessna U-17A from South Vietnamese Air Force.

 

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Mirage 5f

Mirage 5F
Escadron de Chasse 2/13 "Alpes"

Escadron de Chasse 2/13 “Alpes”

Mirage 5F n°35 “13-PA”
Mirage 5F n°10 “13-PB”
Collection de l’auteur
Photo de l’auteur
Mirage 5F n°50 “13-PC”
Mirage 5F n°51 “13-PC”
Photos de l’auteur
Mirage 5F n°39 “13-PF”
Mirage 5F n°43 “13-PM”
Photo de l’auteur
Collection de l’auteur
Escadron de Chasse 3/13 "Auvergne"
Escadron de Chasse 3/13 “Auvergne”
Mirage 5F n°13 “13-SE”
Mirage 5F n°31 “13-SK”
Collection de l’auteur
Mirage 5F n°33 “13-SK”
Mirage 5F n°6 “13-SM”
Photo de l’auteur
Collection de l’auteur
Mirage 5F n°47 “13-SN”
Mirage 5F n°17 “13-SO”
Collection de l’auteur
Photo de l’auteur
Mirage 5F n°24 “13-SP”
Mirage 5F n°34 “13-SR”
Collection de l’auteur
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Fort de Guentrange

Fort de Guentrange

Le fort de Guentrange, qui domine la ville de Thionville, a été construit par les Allemands entre 1899 et 1906.

Sa mission principale était la défense de la gare de Thionville et celle de la tête de pont sur la rive gauche de la Moselle.

La “Feste Ober-Gentringen” (comme l’appelaient les Allemands) était défendue par une garnison de près de 2000 hommes (3 à 4 compagnies d’infanterie) et comportait 2 batteries cuirassées armées chacune de 4 canons courts de 100 mm, une caserne centrale étagée sur 4 niveaux, deux casernes secondaires et environ 3 km de galeries souterraines.

Une seconde ligne de casemates de flanquement a été construite en 1913. L’ensemble fortifié a coûté environ 23 millions de francs, ce qui en fait l’ouvrage le plus cher de toutes les Feste allemandes de Moselle.

Les forts d’Illange et de Koenigsmacker sont construits plus tard pour appuyer Guentrange. Très en retrait du front principal, le fort de Guentrange ne subit pas d’attaque française pendant la Première Guerre mondiale.

Le fort de Guentrange fut intégré dans le Secteur fortifié de Thionville de la Ligne Maginot dans les années 1930. Après la défaite de 1940, le fort servit de dépôt à l’armée allemande jusqu’à sa libération par l’armée américaine en 1944.

Le fort de Guentrange fut ensuite réutilisé par l’armée française en tant que dépôt de munitions (notamment par le 25e RA) jusqu’en 1971.

Le fort est aujourd’hui la propriété de la ville de Thionville et est entretenu par l’Amicale du Groupe Fortifié de Guentrange qui en assure des visites guidées.…

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Service Militaire au 2e Groupe de Chasseurs Contingent 88-12

Neustadt and der Weinstrasse

Début décembre 1988, j’arrive à Neustadt an der Weinstrasse, petite ville de la Rhénanie-Palatinat pour mon service militaire au 2e Groupe de Chasseurs.

Vous découvrirez ici ce qu’était la vie dans un bataillon des Forces Françaises en Allemagne (FFA) à la fin de la Guerre Froide, quelques mois avant la chute de l’URSS……

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Les bunkers allemands de Saint–Germain–en–Laye Bunker du Château

Dès juin 1940, les forces d’occupation allemandes s’installent dans les belles demeures de Saint-Germain-en-Laye , mais à partir de janvier 1942 la ville devient le siège de l’Oberkommando West (Haut Commandement des forces Ouest de l’armée allemande) avec le Feldmarschal Gerd Von Runsdtedt à sa tête. L’état-major est d’abord installé dans le pavillon Henri IV mais déménage vers la Villa David après qu’une bombe ait endommagé le pavillon Henri IV le 3 mars 1942. Cet incident donne le signal de départ d’une frénésie de construction de bunkers à travers toute la ville.

Ces nombreux blockhaus et abris bétonnés construits par l’Organisation Todt sont encore visibles de nos jours.

Le plus visible des blockhaus est sans conteste ce gros abri passif de 135 m2 dans les jardins du château.

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Ligne Maginot

Découverte de la Ligne Maginot en Lorraine

Partez à la découverte de la Ligne Maginot en Lorraine et tout particulièrement du Secteur Fortifié de Thionville. Aujourd’hui le plus souvent totalement laissés à l’abandon, ces vestiges de l’histoire moderne de la France demeurent impressionnants !

Dernières Mises à Jour

Bloc 7 Molvange
Bloc 7 Molvange
Bloc 3 Molvange
M1 – Chapelle Soetrich
Camp Hettange-Grande
Abri du Gros Bois
Blockhaus Oeutrange
Camp d'Angevillers
Camp d’Angevillers
Abri du Bois d’Escherange
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Casemate du Gros Bois
Casemates de Kanfen
Observatoire de Boust
Petit Ouvrage Bois Karre
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